Voici une traduction de « Tears in Heaven » de Eric Clapton en français, faite en respectant le style de la chanson originale.
Would you know my name if I saw you in heaven?
Saurais-tu mon nom si je te voyais au paradis ?
Would it be the same if I saw you in heaven?
Serait-ce pareil si je te voyais au paradis ?
I must be strong and carry on
Je dois être fort et continuer
‘Cause I know I don’t belong here in heaven
Car je sais que ma place n’est pas encore au paradis
Would you hold my hand if I saw you in heaven?
Tiendrais-tu ma main si je te voyais au paradis ?
Would you help me stand if I saw you in heaven?
M’aiderais-tu à me relever si je te voyais au paradis ?
I’ll find my way through night and day
Je trouverai mon chemin à travers la nuit et le jour
‘Cause I know I just can’t stay here in heaven
Car je sais que je ne peux pas encore rester au paradis
Time can bring you down, time can bend your knees
Le temps peut t’abattre, le temps peut te mettre à genoux
Time can break your heart, have you begging please
Le temps peut briser ton cœur, te faire supplier
Begging please
Supplier encore
Beyond the door, there’s peace, I’m sure
Derrière cette porte, il y a la paix, j’en suis sûr
And I know there’ll be no more tears in heaven
Et je sais qu’il n’y aura plus de larmes au paradis
Would you know my name if I saw you in heaven?
Saurais-tu mon nom si je te voyais au paradis ?
Would you be the same if I saw you in heaven?
Serais-tu la même si je te voyais au paradis ?
I must be strong and carry on
Je dois être fort et continuer
‘Cause I know I don’t belong here in heaven
Car je sais que ma place n’est pas encore au paradis
Quel est le sens de « Tears in Heaven » de Eric Clapton ?
Cette chanson émouvante exprime la douleur d’une séparation par la mort et l’espoir de retrouvailles au paradis. Le narrateur s’interroge sur ces retrouvailles tout en reconnaissant qu’il doit continuer à vivre sur Terre. Les paroles évoquent la lutte contre le chagrin, le passage du temps qui blesse, et l’espoir d’une paix éternelle au paradis où les larmes n’existent plus.