Julia Michaels – Heaven

Voici une traduction de « Heaven » de Julia Michaels en français, faite en respectant le style de la chanson originale.


Love’s my religion
L’amour est ma religion

But he was my faith
Mais lui était ma foi

Something so sacred
Quelque chose de si sacré

So hard to replace
Si difficile à remplacer

Falling for him was like falling from grace
Tomber pour lui était comme tomber de la grâce

All wrapped in one
Tout concentré en un

He was so many sins
Il était tant de péchés

Would have done anything
J’aurais fait n’importe quoi

Everything for him
Tout pour lui

And if you ask me
Et si on me demandait

I would do it again
Je recommencerais encore

No need to imagine
Pas besoin d’imaginer

‘Cause I know it’s true
Car je sais que c’est vrai

They say all good boys go to Heaven
On dit que tous les bons garçons vont au Paradis

But bad boys bring Heaven to you
Mais les mauvais garçons apportent le Paradis à vous

It’s automatic
C’est automatique

It’s just what they do
C’est leur nature

You don’t realise the power they have
On ne réalise pas le pouvoir qu’ils ont

Until they leave you
Jusqu’à ce qu’ils vous quittent

And you want them back
Et qu’on les désire à nouveau

Nothing in this world
Rien dans ce monde

Prepares you for that
Ne vous y prépare

I’m not a sinner
Je ne suis pas un pécheur

He wasn’t the one
Il n’était pas l’élu

Had no idea what we would become
Sans idée de ce que nous deviendrions

There’s no regrets
Il n’y a pas de regrets

I just thought it was fun
Je pensais juste que c’était amusant

I still remember the moment we met
Je me souviens encore du moment où nous nous sommes rencontrés

The touch that he planted
Le toucher qu’il a semé

The garden he left
Le jardin qu’il a laissé

I guess the rain was just half that effect
Je suppose que la pluie n’était que la moitié de cet effet


Quel est le sens de « Heaven » de Julia Michaels ?

Cette chanson explore l’intensité d’une relation passionnée et complexe. Elle décrit l’amour comme une religion, où l’amant devient un objet de culte et de désir. Le texte révèle la puissance émotionnelle des « mauvais garçons » qui apportent une expérience transformatrice et mémorable, transcendant les notions traditionnelles de bien et de mal.